Les avantages de devenir actionnaire de l’ACA

L’ACA est une des institutions les plus solides qui soient en Afrique, comme en témoigne notre notation de premier rang de S&P Global Ratings. Grâce à notre capitalisation forte et à notre stratégie d’affaire robuste, nous pouvons aider nos investisseurs à obtenir un excellent rendement sur les capitaux investis. Un investissement dans l’ACA peut fournir un effet de levier jusqu’à concurrence de 30 afin de couvrir des projets d’une valeur allant de 600 millions d’USD à 1 milliard d’USD. De plus, notre taux de croissance solide et notre rentabilité devraient mener, sous peu, au versement de dividendes à nos investisseurs.

Des gouvernements membres ont fait appel à nos produits pour remplacer les garanties souveraines, et bonifier ainsi leurs lettres de confort et réduire leurs engagements.

Dans de nombreux gouvernements membres , le risque d’expropriation, l’annulation unilatérale de licences, la nationalisation d’actifs et d’autres périls entravent souvent l’apport d’investissements dans leurs pays. Ceci peut donc mettre en péril l’opportunité du gouvernement d’attirer des capitaux étrangers afin de développer les secteurs prioritaires. Dans de telles circonstances, les solutions de l’ACA sont névralgiques.

Certaines sociétés parapubliques éprouvent de la difficulté à respecter leurs obligations, et ces défauts de paiement peuvent entraver l’apport de capitaux. Lorsque l’ACA garantit le financement, les prêteurs sont plus aptes à financer les agences parapubliques à moindre taux.

Les pays émergents privilégient souvent les investisseurs privés pour la production d’énergie. Ils peuvent ainsi accroître la capacité du pays sans emprunter et évitent d’avoir à gérer les installations. Les bailleurs de fonds exigent des garanties solides avant de financer ce genre d’activités. Une solution de l’ACA leur permet donc de consentir des financements au gouvernement en toute confiance.

Dans la plupart des économies développées, des assureurs-crédit privés assurent le risque de non-paiement des exportateurs. Ce produit est rare en Afrique sub-saharienne, si bien que les exportateurs doivent demander des modalités de paiement (paiement anticipé, lettres de crédit, etc.) qui réduisent leur compétitivité. L’ACA peut protéger les exportateurs contre le risque de non-paiement, pour une seule transaction ou tout un portefeuille.

Les petites entreprises éprouvent souvent beaucoup de difficulté à obtenir un financement bancaire, parce qu’on estime qu’elles sont fragiles. L’ACA a conçu plusieurs solutions pour inciter les banques à financer ces clients potentiels, lesquelles renforcent les banques et les PME.

Les sociétés d’État sont souvent perçues comme étant un mauvais risque de crédit en raison de leur inefficacité apparente. Les partenariats solides que l’ACA entretient avec les gouvernements membres nous permettent d’assurer des fournisseurs locaux et étrangers contre le risque de non-paiement. Les sociétés d’État parviennent ainsi à obtenir des conditions de crédit qui compensent les primes d’assurance.

Dans la plupart des économies développées, les banques internationales ont des services spécialisés qui prennent en charge les transactions assurées par une agence de crédit à l’exportation (ACE) nationale. Ce type d’assurance permet aux banques de consentir d’excellentes conditions à leurs clients. De plus, les règles de Bâle II prévoient un allègement de capital (jusqu’à concurrence de 100 %) aux banques à l’égard de transactions endossées par des ACE. Les banques de l’Afrique sub-saharienne n’ont pas accès à ce genre de facilités, si bien qu’elles sont moins concurrentielles. Sous réserve d’une entente avec l’organisme local de réglementation des banques, l’ACA peut éliminer ce handicap.

L’ACA ne livre pas concurrence aux assureurs locaux. Nous préférons plutôt les aider à mieux gérer leurs activités. Deux de nos produits sont particulièrement utiles à cet égard, à savoir l’Assurance contre la violence politique, le terrorisme et le sabotage, ainsi que les cautions, où nous proposons de la capacité additionnelle pour les marchés locaux.